Tendis que je recouvrais peu à peu ce qui s'était passé. Je réfléchis un instant, puis je me dis: "Il faut à tout pris que je LUI écrive!"
Et comme je me souvenais de l'adresse où habitait mon cher Yann, j'attrapais un écritoire qui se trouvait sur la table, juste à côté de moi. Je commençais à écrire...Que pouvais-je lui dire pour lui prouver qu'il me manque?
Voici ce que j'écris :



Soudain, j'entendis des éclats de voix, derrière la porte. Je reconnus aussitôt la voix de Sa Majesté et de la gentille Louise. Je n'entendis pas tout, mais, néanmoins, je compris certains mots. Voici ce que j'entendis :
-Loui je ous doit la rité et bien oilà vous savez qu'il y a rois ois mon ousin...venue et e suis ombée ceinte !!
Ce que je traduisit par :
-Louise je vous doit la vérité et bien voilà vous savez qu'il y a trois mois mon cousin est venue et je suis tombée enceinte !!
C'était Sa Majesté qui parlait. Je ne puis me retenir de m'exclamer:
-Comment? Majesté, vous êtes...
Je me rendis soudain compte qu'il ne fallait peut-être pas en parler si fort. Je vis alors la Reine et Louise entrer dans mon appartement.

Louanne tomba dans les pommes et au bout de plusieurs minutes nous prîmes la décision de la transporter dans ses appartements. Une fois sur son lit a baldaquin en bois de chêne, la Reine m'entraina dehors. Elle paraissait si excité que je me mis a sourire. Elle se mit en face et de moi et avec un regard pétillant avec malice elle me dit directement qu'elle était enceinte d'Axel. Mon sang ne fit qu'un tour et je sentis le monde s'effondrer autour de moi. Je m'appuyais au mur et regardant le Reine avec incompréhension j'ajoutais.

-Mais..mais ce n'est pas possible ! Vous n'êtes pas marié et..et..enfin.

La porte s'entrouvrit et Louanne qui avait tout entendu fut surprise de la nouvelle. Je me dirigeais vers la porte, droite, la bouche pinçait et les points serraient. Axel que j'aimais c'était jetée dans les bras de la Reine alors qu'il m'avait conté fleurette. Je me tournais vers les deux autres dame.

-Nous devons préparer une fête au plus vite !

En entendant la nouvelle, je m'étais aussitôt levée pour féliciterSa Majesté. Je perçus un trouble chez Louise. Je me dis que je devrais lui parler. Mais elle dit à la Reine et à moi qu'il fallait préparer une fête au plus vite. Lorsque la Reine sembla s'en aller, je retins Louise discrètement, alors qu'elle s'apprêtait à suivre Sa Majesté. Je lui dis :
-Louise, j'ai perçu votre trouble. Dîtes-moi si je me trompe, mais il me semble que vous avez un petit, non, je dirai même un gros faible pour cet Axel, je me trompe?Je suis étonnée que Sa Majesté n'est pour l'instant rien remarqué.

Mais avant qu'elle ne puisse me répondre, je commençais à défaillir une nouvelle fois, car j'étais encore très faible. Je la priait de me suivre, jusque dans ma chambre, où je pus m'allonger, et attendre sa réponse.

J'hochais la tête et suivie la jeune fille dans la ruelle de son lit. Je croisais mes mains et attendis qu'elle s'installe bien confotablement. Je tremblais un peu et je sentis mon nez me picoter, je battais des paupières et des larmes començèrent a couler le long de mes joues. Je ne les retenais pas. Elle coulaient silencieusement et on entendait simplement les repirations. Puis prenant de l'aire j'anoncais tout a trac.

-Axel et moi étions amoureux. Enfin moi je l'étais et nous avons eu quelques longs baisais. Mais il ne m'a pas dit qu'il avait eu des relations intime avec la Reine !

Je plongeais mon visage dans mes mains et attendais une quelqconque réponse de Louanne.

Je voyais la pauvre pleurer à chaudes larmes. Je lui dit:
-C'est bien...Laissez couler vos larmes, cela vous
fera du bien. Je vous ai raconté rapidement mon histoire, mais pas entièrement.
Alors je vais vous la raconter, elle est peut-être moins triste que la vôtre,
certes, mais, chaque jour, je suis déprimée, et je ne le dis à personne. Alors
voilà. Lorsque j'étais encore une enfant, ma mère avaient beaucoup d'amies,
dont Mme de Riou, la mère de Yann. Souventes fois, lorsque nos mères parlaient,
nous jouions ensemble. Et puis, nous nous connaissions si bien à la fin, que
nous nous sommes épris l'un de l'autre sans que l'on ne s'en rende compte.
Notre amour était tellement passionné que nous nous voyons chaque jour. Et
puis, un jour, il m'a demandé un mariage, c'était un bel après-midi de
fin-Juin. Lorsqu'il la fait, je fus si émue que j'en perdis la voix...Bien sûr,
j'acceptais. Il ne se passa pas un seul jour sans qu'il ne parla de nos projets
de mariages. Nos parents avaient bien sûr donnés leur consentement. Nos mères
en furent même ravies. Et puis, un jour, Yann me proposa même de déménager de
cette ville où nous habitions. Et puis, j'entendis parler de ce royaume,
Soland, non loin de là. Je reçu même une lettre, qui m'expliqua ce qui s'y
était passé. J'en parlais à Yann. Et, contrairement à ce que je m'attendais, il
refusa. Je lui en demandais la raison. Il n'en fournis point. Je commençais à
m'énerver. Je lui expliquais que j'avais le droit de vivre ma vie, pour que
nous soyons tous deux heureux. Non. Voilà la réponse qu'il me répondit,
comme...comme...un égoïste. Nous nous fâchâmes, et je vins habiter ici. Il ne
se passe point un jour sans que mon cœur ne saigne. J semble peut-être joyeuse,
mais ce n'est qu'un masque que je me force à cacher. Car, en vérité, je suis
très triste, et déprimée...

La reine ne pouvais supportait l'idée que Louanne et Louise partent elle voulais leur montrer que même si elle avais u des histoires triste elle aussi n'avais pas était heureuse dans sa vie quand elle était petite puis soudains elle entendit des pas dans le couloir ce bruit lui rappeler cette terrible nuit ou elle avais était enlever elle craigne qu'un officier vienne lui annoncer une nouvelle guerre. Alors un officier entra et lui donna un télégramme :


LE COMPTE AXEL EST MORT!!!!

(mais Solenn, alors ta copine qui est Axel, bah ça sert plus à rien!)

(ben elle par chez ses parent en turqui elle désaqutive son compte)

(ben ouais, mais toi tu les fais toujours mourir! comme sur les colombes, avec Marguerite! bon, sinon, je suis sur la CB donc je vais pouvoir te dire un truc en rapport avec le fo')



édit de la reine :par MP stp
oui mais la du coup sa tourne au tragique et j'aime le tragique.

Comment? Le compte Axel, mort? Pauvre Majesté! Ainsi, nous étions toutes réduites à vivre ainsi... Seules.... Tristes et désemparées... Alors, je dis à la Reine :
-Mais si votre cousin Axel, est mort, votre enfant n'aura pas de père! C'est affreux!

J'étais triste. Triste pour la Reine, mais surtout pour Louise. Et pour moi. Je demandais à l'officier d'envoyer la lettre que j'avais écrite peu de temps avant à mon cousin Yann... Il repartit, et bientôt, nous entendîmes un bruit. Deux demoiselles arrivaient, guidées par un page, ce devaient être deux nouvelles arrivantes...

Alice, accompagnez de Charline et d'un page, entrèrent dans l'apartement sur la phrase finale de Louanne.
Alice tout sourire et toute contente d'être enfin parvenue jusqu'a la Reine s'approcha, ou plutot courrut vers elle et la salua fort gracieusement en disant:

-Votre Majestée, je me nomme Alice. Alice de Peyrianne! Je vous cherchait depuis...au moins une heure! Ou étiez vous don cachez?

Puis voyant les regards consternez des autres personnes, elle s'exclama:

-Bah quoi? Quelqu'un est mort?

Elle ne croyait pas si bien dire.

Alors que je finissais d'achever ma phrase, deux jeunes filles entrèrent. L'une couru presque jusqu'à Sa Majesté. Elle lui demanda :
-Votre Majesté, je me nomme Alice. Alice de Peyrianne! Je vous cherchait depuis...au moins une heure! Où étiez vous donc cachez?

Louise et moi, ainsi que la Reine, sûrement, la regardâmes, interloquées. Elle continua :
-Bah quoi? Quelqu'un est mort?

Je lui répondis alors...
-Et bien, oui. Le promi de Sa Majesté. Je pense d'ailleurs qu'elle ne souhaite guère en parler... Mais sinon, bienvenue à vous à Soland!

La dernière phrase aurait pu être joyeuse. Mais elle ne l'était pas... C'est simplement par pure politesse.

Code:

Après, Charline parle aussi, si possible, et puis après on change de jour, vous en pensez quoi?

En entrant, Alice c'était précipitée sur la Reine, qui parrut assez étonnée.
La Reine était assez jolie mais avait quelque chose dans son regard d'était, comme si la flammequi la faisait vivre s'était éteinte. Cela allait plûtot l'arranger, que la Reine faiblisse....

Alice, comme d'habitude, dit la phrase qu'il ne fallait pas dire. En effet, l'amant de la Reine venait de mourrir, et celle si venait de emander, en lanssant cela comme une boutade, si quelqu'un était mort...Charmant.

Mais Charline n'avait pas le temps de s'apitouyer sur la pauvre Alice, qui devait se sentir bien gêner, ni sur la Reine qui devait avoir le coeur fendut! Son promit était mort! La Reine, trite à en mourrir, n'arriverat pas à défendre son royaume et la...PAF. Mais tachons de ne rien laisser paraitre, sa mission ne fait que commencer. Tachons d'être à la hauteur, et de gagner la confiance de la Reine.

Elle s'avença poliment et dépassa Alice. Elle s'inclina devant la Reine et dit d'un ton posée et froid:

-Désolée, Votre Majestée, de venir vous troublée en un tel momen. J'en suis toute désolé pour vous et vous fait toutes mes plus ample condoléences.
Je me permet aussi de me présentée. Charline de Mariange, et je viens également d'arrivée.

Elle se tourna vers les autres damoiselles et les salua simplement.
Elle essaya de parraitre plus vielle, plus noble, afin d'inspirer la confiance de cette pauvre femme, triste d'avoir perdue l'autre moitié de son coeur, l'homme avec qui elle se voyait faire sa vie.
Elle en avait ppresque pitiée pour elle, mais l ne fallait pas faire entrer en jeu les sentiments!

L'autre jeune fille semblait trouver cette Alice bien idiote. Elle l'a regarda avec un ton hautain et glacial. Elle se présenta ensuite :
-Désolée, Votre Majesté, de venir vous troublée en
un tel momen. J'en suis toute désolé pour vous et vous fait toutes mes
plus ample condoléances.
Je me permet aussi de me présentée. Charline de Mariange, et je viens également d'arrivée.

Oui, sans le savoir, elles venaient pile au bon moment... La Reine, Louise et moi étions toutes trois très tristes. Mais surtout la Reine et Louise, car leur amour était mort. Car moi, mon amour n'est pas mort, il est encore vivant... Ma lettre est partie. Son absence me rend malade, je ne vais plus bien. J'ai des hallucinations... J'espère qu'il viendra bientôt...